Black London
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 Oliver W. Lindburg.

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2 participants
AuteurMessage
Oliver W. Lindburg
Musicien ambulant
Oliver W. Lindburg


Statut : Mr
Fiche : Oliver W. Lindburg

Oliver W. Lindburg. Empty
MessageSujet: Oliver W. Lindburg.   Oliver W. Lindburg. EmptyLun 12 Jan - 18:14

-§o§- Fiche d'identité -§o§-
NOM : Lindburg
PRÉNOM : Oliver W.

ÂGE : 20 ans
SEXE : Masculin

STATUT (Ce que les gens mettent habituellement devant votre nom: Lord, Sir, Lady, Mr, Mrs, Miss) : « Mr » mais simplement « Oliver » est plus courant.
EMPLOI (À choisir dans la liste) : Musicien ambulant(violoniste).
ÉTAT CIVIL (marié, célibataire, divorcé? + éventuellement préférence sexuelle entre [ ] ) : Célibataire [Pas de préférence]
NATIONALITÉ : Britannique.

FAMILLE (Père, mère, frères et sœurs OU tuteurs légaux dans le cas d'une adoption): Il n’a pas de famille.

[+][+][+]

-§o§- Fiche biographique -§o§-
DESCRIPTION PHYSIQUE (minimum 5 lignes pleines en rapport avec l'avatar): Comme première caractéristique, Oliver est Albinos. C’est en effet ce que l’on remarque directement chez lui. Ainsi, sa peau dépourvue de pigments, est blanche, tout comme ses cheveux et le reste de son système pileux. Par la même occasion, ces yeux sont rouges, teintant légèrement sur le bordeaux.
Il est de taille moyenne mesurant 1m72 pour 57 kilos, ce qui n’est pas gros. De plus, il paraît bien plus petit qu’il n’est car il a l’habitude de marcher et s’asseoir en courbant l’échine. Il n’est pas très musclé et un simple coup de pied suffirait à le faire voler d’un bout à l’autre d’une pièce.
Pour ce qui est de sa tenue vestimentaire, Oliver s’habille le plus souvent en blanc ou noir, augmentant ainsi l’effet de son teint. Il lui arrive néanmoins de porter d’autres habits, voire même parfois des vêtements excentriques, comme ceux d’un clown ou d’un arlequin.
Oliver considère son corps et son esprit, ou du moins une partie de ce dernier, comme absolument malléable. Ses expressions faciales changent donc du tout au tout en fonction de l’apparence qu’il veut se donner, tout comme s’il changeait de masque lors d’une représentation (IDENTIT2). Néanmoins, l’expression la plus courante qui apparaît sur sa figure, et indépendante de sa volonté, est plutôt celle d’un animal égaré qui regarde de tous côtés un moyen de se cacher.

CARACTÈRE (minimum 5 lignes pleines en rapport avec l'histoire): Tout d’abord, on peut dire d’Oliver qu’il est imprévisible. Ainsi, bien que davantage civilisé qu’au début de sa vie, il peut à tout moment rire pour quelque chose qui n’est pas drôle ou partir en plein milieu d’une conversation qu’il a lui-même engagé. Ces traits bizarres de son comportement proviennent de son esprit que l’on peut qualifier de « fouillis général ». Il n’a pas de goût précis car il aime et déteste tout et tout le monde, et ce en même temps. Il ne comprend souvent pas lui-même pourquoi il agit de telle manière ou de telle autre.
On peut néanmoins affirmer que chez lui certaines attitudes et hobbies dominent : c’est un grand amateur de musique et de tout ce qui est lié au système auditif. Lui-même joue du violon à un niveau élevé mais est très sélectif quant à l’air qu’il joue (il peut très bien jouer le même air plusieurs fois d’affilé juste pour trouver une note qui l’intéresse à un moment précis de la partition). A part la musique et le chant (il ne pratique pas ce dernier), rien que les bruits de la rue réveillent en lui de la joie ou de la terreur.
Le rire est la deuxième particularité de son caractère. Mais pas le rire vrai et sincère. Il s’agit plutôt d’un rire moqueur, ironique, cynique, nerveux ou rageur. Tout dépend de la situation. Oliver aime se moquer des personnes en détresse tout comme agacer les riches avec ses remarques blessantes ou bouffonnes. Il rit car il voit au travers de tout cela, il voit au travers du bien et du mal, fait mal souvent, et le bien parfois. Il aime titiller les personnes pour les percer à jour, affirmant ainsi sa supériorité sur elles, mais lui craint plus que tout qu’on le découvre. Qu’on découvre qu’il a peur du monde et des hommes, et peut-être plus encore de ses pensées. Ses pensées qui se tordent et s’éteignent en lui pour que chaque jour il puisse mourir et renaître. Alors, il rit car le rire dissimule toujours les larmes, et pleurer de rire n’a jamais été un crime.
Oliver est assez craintif, il n’aime pas qu’on l’approche mais lui ne voit pas d’inconvénient à approcher les gens. Il suffit qu’il puisse s’éloigner assez rapidement de vous en cas de besoin… Il déteste croiser le regard de quelqu’un et regarde toujours de tous côtés sans jamais poser ses yeux nulle part.
Bien que son esprit soit toujours en perpétuel changement, il peut lui arriver de rester assis ou allongé pendant plusieurs minutes voire plusieurs heures sans rien faire afin de ne pas réellement perdre pied.
Il est vrai que trouver un travail n’est pas facile dans ces conditions mais Oliver a dans l’idée de se faire engager pour ses talents de musicien.

HISTOIRE (minimum 10 lignes pleines. Attention, si vous voulez faire partie de la société secrète, vous ne POUVEZ PAS l'indiquer ici!):
Walter Lindburg avait toujours été homme à tirer avantage d’une situation. Cadet d’une famille de trois enfants, il arrivait toujours sans le moindre mal à rejeter la faute sur ses frères. Bel adolescent, il trompait les demoiselles et les faisait se confronter en duels criards à la manière de Dom Juan. Adulte enfin, il sut tirer profit de l’enseignement de son père sur la fabrication des violons et reprit la boutique familiale, en profitant de la mort récente et étrange d’un autre commerçant pour changer son emplacement. Bien obligé finalement de se marier, il amena vers lui une femme ni belle ni laide, mais qui au moins était du même niveau social que lui et plutôt amoureuse. Les affaires marchaient bien et les clients se pressaient aux abords de cette boutique dont le propriétaire était connu pour sa réussite et son sens des affaires.
Et puis, aussi vite qu’un ange annonce une nouvelle, Madame Lindburg tomba enceinte. Une joie pour elle et pour tout le voisinage qui ne se lassait pas chaque jour de venir féliciter la future mère et de lui prodiguer conseils et autres recettes de grand-mère.
Monsieur Lindburg, pour qui la vie personnelle avait peu d’importance, ne voyait pas d’inconvénient à avoir un enfant. De toute manière ce ne serait pas lui qui s’en occuperait…
Seulement voilà, au terme des 9 mois, on ne vit pas sortir de l’antre maternelle la bouille rose et rondelette d’un enfant tout neuf, mais la pâleur et la chétivité d’un être hurlant et geignard.
L’enfant était albinos. Lorsqu’on présenta au père ce blême rejeton, celui-ci ne réprima pas une moue de dégoût et laissa à la mère éreintée le soin de s’occuper de son immaculée progéniture. Celle-ci, d’abord épouvantée, trouva rapidement à son fils, car c’était un garçon, des qualités que la surprise lui avait faite oublier.
La première année de vie d’Oliver fut donc tout à fait normale.

Les évènements prirent une autre tournure à la fin de la première année du garçon lorsque Walter, à la suite d’une remarque amusée d’un de ses clients, prit conscience du profit singulier qu’il pourrait tirer d’une telle infortune.
Il mit au courant sa femme de son projet fantastique qui, horrifiée par tant de machiavélisme, refusa en tout point cette idée et voulut éloigner l’enfant le plus possible de son père qu’elle découvrait enfin sous son vrai jour.
Elle s’exila hors de Londres pour rejoindre la campagne, mais Walter qui n’aimait pas qu’on lui mette des bâtons dans les roues informa rapidement la police de l’enlèvement de son fils par sa folle de femme. Elle fut envoyée en asile psychiatrique et l’enfant justement confié à son pauvre père qui changea radicalement les conditions de vie du gamin.
La plus grande peur de Walter était d’avoir fait enfermer sa femme pour rien et de se retrouver avec un inutile morceau de chair à s’occuper. Sa terreur irraisonnée de perdre son nouvel objet rare le poussa à enfermer Oliver dans le noir, à l’abri des rayons du soleil, le laissant macérer dans ses excréments et ne lui rendant visite que pour le nourrir au moyen d’une nourrice qui venait deux fois par jour et dont le prix du silence était un peu cher payé au goût de Lindburg père.
Quand, enfin, sa bête de foire fut assez grande pour être exhibée c'est-à-dire dès 3ans et demi, il l’emmena dans les mêmes campagnes qui auraient du le sauver, et traîna l’enfant de villages en villages pour offrir aux yeux de tous cette peau à la blancheur démoniaque.

« Approchez mesdames et messieurs, une attraction comme on en voit peu. Aviez vous déjà croisé Satan en habit blanc ? Ne cherchez plus, le voici. Regardez moi ces orbites rouge sang, ce petit nez d’ange trompeur. Et ces cheveux immaculés, sont-ils tombés du crâne de la mort elle-même ? Attendez ne bougez plus…mais oui ça sent le soufre ! LE SOUFRE MONSIEUR.»

Pourtant, Walter Lindburg s’était fourvoyé. Oui, pour la première fois de sa vie, il avait surestimé une affaire. Il avait beau montrer un peu partout son fils et lui enseigner quelques tours, il n’obtenait jamais beaucoup d’argent… Il aurait du s’en douter.
Il décida donc qu’après ce coup de folie il était temps que les choses reprennent leur cours normal. Il reprit les affaires en main et remit au placard le petit pantin de 5 ans maintenant. Au moins, il n’était pas contrariant celui-là, il ne faisait jamais de bruit, ne pleurait pas même lorsqu’il tombait, et le fait est qu’il tombait souvent, à se demander parfois si son comportement n’était pas intentionnel. La plupart du temps, sa seule activité était de rester dans le noir les yeux grands ouverts. Ses yeux qui parfois le regardaient lui d’un air inexpressif comme si leur lueur brillait en dedans du corps du garçonnet.
Il n’y avait malheureusement rien à en tirer, comme il le répétait aux clients qui lui posaient des questions. Le pauvre garçon avait « le singe », comme sa mère…

Mais, comme à son habitude la chance tourna. Un jour que Walter était tout occupé à nourrir Phileas son lévrier, un chien de race qu’il fallait chouchouter, il lui parvint un son de la pièce où Oliver avait maintenant passé plus de quatre années de sa vie. Mais ce qui était encore plus surprenant, c’était que ce son provenait d’un instrument de musique. Le seul dans cette maison à jouer de la musique était Walter qui à ses heures perdues révisait les rares acquis qu’il avait dans le domaine.
Eberlué, Walter regardait Phileas qui la bave aux lèvres regardait sa pâtée entre les mains de son Saint Père. Ce n’était même pas le chien… Un cambrioleur alors ?
Il ouvrit la porte et tomba nez à nez avec Oliver qui brandissait avec confiance son archet.

« Oliver entend la musique, Oliver entend la musique » hululait-il en sautillant.

Alors, faisant face à ce petit oisillon trépignant de joie, les yeux de Walter s’embuèrent de larmes. Ca c’était une affaire, une vraie ! Dieu ne l’avait pas oublié !
Il referma la porte en se frottant les mains à s’en arracher la peau.

A partir de ce moment-là, Oliver quitta définitivement sa pièce sombre pour ne plus être que sous les lumières aveuglantes du théâtre. Son père le nettoya, l’habilla et en fit, de par son talent immense de tuteur, un prodige.
Evidemment, pas une seule pièce ne parvenait entre les mains du virtuose. Son père, prévoyant à l’extrême, lui gardait tout jusqu'à sa majorité, sans y toucher évidemment. Le brave homme…
Et comme la bonté dépasse le plus beau des trésors, Walter Lindburg s’enrichit considérablement.
Oliver quant à lui ne semblait pas comprendre l’importance de son succès, mais son comportement avait changé. Certes il était toujours aussi calme lorsqu’il était seul mais dès que son père paraissait, il devenait surexcité. Son langage déficient mais qui ne souffrait pas de problèmes de syntaxe, signe que le retard n’était pas irrécupérable, se développa considérablement dès ce moment là. Il tenta à plusieurs reprises de parler avec son père mais celui-ci trop absorbé par ses comptes, ne répondait que par des petits bruits agacés. Ses discussions, il les avait surtout avec les gens qui lui posaient des questions sur son talent ou sur son apparence physique.
Mais ses réponses étant toujours décalées et parfois sans rapport avec la question, les gens le trouvèrent vite agaçant. Un excentrique, bah c’était un artiste après tout.

« L’impensable drame » titra le journal lorsque la mort atroce de Walter Lindburg fut révélée au public.
On trouva bien vite un coupable qui, malgré ses efforts répétés pour prouver son innocence, ne parvint pas à faire plier les juges. Le pouvoir sacré délégué par Dieu lui-même fit donc tomber une tête de plus ce jour là.

Malgré les recherches, on ne retrouva pas le jeune fils Lindburg qui s’était évaporé dans la nature, ou bien son agresseur l’avait tué et caché quelque part. On ne le sut pas.



Toujours est-il qu’aujourd’hui, le jeune Oliver réapparait sans plus d’explication. Mais tout cela est bien loin, on ne revient pas sur le passé. Plus personne ne s’en souvient.
Lever de rideau. IIIe Acte.

(Je n’ai pas raconté l’histoire de la mort du père d’Oliver car je le ferai plutôt dans le RP à un moment ou à un autre.)
AIME : Tout et rien. La musique, la discussion si s’est lui qui l’entame. Se moquer des autres et de lui-même. Jouer la comédie.
N'AIME PAS : Rien et tout. Lui-même. Il a une peur panique de la mort.

CASIER JUDICIAIRE (votre personnage a t'il déjà commis certains méfaits? Si oui, a t'il écoppé d'une peine ou est-il en fuite, etc.): Il a tué son père. Il n’a pas fait de prison mais n’est plus recherché. Un « coupable » a été trouvé…
AUTRES : Pas que je sache^^.

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Jerry J. Atkyns
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Jerry J. Atkyns


Fiche : Jerry J. Atkyns

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MessageSujet: Re: Oliver W. Lindburg.   Oliver W. Lindburg. EmptyLun 12 Jan - 19:17

Très bien tout ça!

Fiche validée, tu peux dès à présent aller t'amuser! Wink
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Oliver W. Lindburg.
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